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La menace terroriste pèse toujours sur les pays du Maghreb, en raison du retour massif des combattants des zones de tensions (Syrie et Irak), selon un rapport d’information de l'Assemblée nationale française,
Mardi soir, la Mission de l’ONU en Libye a annoncé le report sine die de la Conférence nationale inter-libyenne, initialement prévue du 14 au 16 avril à Ghadamès, près de la frontière algérienne.
Au moins 35 personnes ont été tuées depuis le début, le 4 avril, d'une offensive du maréchal Haftar contre la capitale libyenne, selon le dernier bilan communiqué par le ministère de la Santé.
La Russie a bloqué, dimanche soir, au Conseil de sécurité de l’ONU le texte d’une déclaration appelant les forces du maréchal libyen Khalifa Haftar à arrêter leur avancée vers Tripoli.
Nidaa Tounès, le parti du président tunisien Béji Caïd Essebsi, a décidé de tourner le dos à toute alliance avec des partis à tendance religieuse, dans les nouveaux statuts qu’il vient d’adopter à l’occasion de son congrès de Monastir,
Les interférences étrangères dans la crise libyenne constituent l’une des principales raisons de la persistance des violences armées.
Les forces de Khalifa Haftar ont essuyé de lourdes pertes, avec au moins 15 soldats tués et des dizaines de blessés, selon des sources médicales.
Contrairement à ses homologues africains et arabes qui s’accrochent au pouvoir,le président tunisien estime qu’il faut laisser la place aux jeunes.
En allant à la conquête de Tripoli, Khalifa Haftar rompt de fait le fragile pacte de paix avec Fayez al-Serraj. Mais il entraîne surtout la Libye dans une nouvelle impasse qui peut mettre en péril la stabilité de toute la région.
Plusieurs villes françaises ont connu hier de nouvelles tensions qui ont opposé les forces de l’ordre aux gilets jaunes, sortis hier pour le 21e samedi consécutif pour dénoncer la politique économique du président Emmanuel Macron,