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Cette situation est causée par les créances impayées qui s’élèvent à 2 milliards de dinars rien que pour les avenants.
“Le Québec est le principal point d’entrée de cet argent. La diaspora algérienne au Canada y est particulièrement bien établie”, souligne “Le Devoir”.
Le financement du déficit du Trésor pour l’exercice 2020 sera problématique.
Un nouveau décret et un cahier des charges sont en cours de finalisation pour encadrer l’industrie de l’électroménager.
Il faut peut-être attendre l’enquête sur les dépenses des ménages pour connaître les nouvelles structures de dépense eu égard aux mutations du paysage économique et social de l’Algérie durant la dernière décennie.
Le secteur du BTPH va mal. Des milliers d’entreprises, essentiellement des PME, sont en difficulté, et le risque de mortalité de ces entreprises s’est fortement accru.
Après s’être établis à 64 millions d’euros en 2016 et 182 millions d’euros en 2017, les flux des investissements directs étrangers (IDE) français en Algérie ont atteint 283 millions d’euros en 2018.
Après s’être attaqué aux importations de marchandises, le gouvernement s’est, enfin, décidé à regarder la balance des services.
Cette contre-performance intervient dans un contexte d’une forte augmentation du budget de l’État et d’un prix du pétrole plus élevé qu’attendu.
Il est urgent d’assainir la situation avec un retour progressif à des règles d’orthodoxie financière sans heurter violemment la société.