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Même si le système a toujours tout fait pour l’extirper de son historiographie, le 5 Octobre constitue une date-relais capitale dans l’Histoire de l’Algérie postcoloniale.
Nous sommes à la veille du trente-et-unième anniversaire du soulèvement du 5 Octobre 1988.
Depuis de longues années, le pouvoir chinois sévit dans un huis clos absolu contre les minorités du Xinjiang, en particulier contre les musulmans ouïghours de cette région.
Le chef d’état-major multiplie les mises en garde contre les adversaires de l’option électorale. Régulièrement, un nouveau type d’“ennemis” du peuple ou de l’Algérie est désigné à sa vindicte.
Contraint de se décider sur sa participation à l’élection présidentielle annoncée, le chef du MSP s’est entortillé en justifications au sujet de son refus de présenter sa candidature.
“La candidature d’Abdelmadjid Tebboune à la présidentielle du 12 décembre signifie un cinquième mandat sous un autre nom”, a déclaré Ali Benflis.
Le procès de Blida a été rapide et s’est déroulé dans un huis clos de fait.
Depuis quelque temps, l’Algérie dispose d’une Autorité nationale indépendante des élections (ANIE), une instance montée par l’ex-Instance nationale de dialogue et de médiation (INDM).
Le peuple en révolution retiendra qu’après la justice la presse aura été le grand déserteur de sa cause.
Le Syndicat national de la magistrature a décidé “à l’unanimité” de prendre le “chemin de l’escalade… pour réaliser les exigences de l’indépendance de la justice dans ses volets juridiques et matériels”.