Le tribunal correctionnel d’Annaba a prononcé, hier, une peine de deux mois de prison avec sursis à l’encontre du journaliste du quotidien « Essarih », Mohamed Lamine Moussaoui, poursuivi pour sa prétendue participation à un rassemblement non armé, lors d’une manifestation anti élections, quelques jours avant la présidentielle du 12 décembre 2019.
Une accusation dont notre confrère s’est toujours défendu, assurant, ordre de mission à l’appui, qu’il se trouvait sur les lieux uniquement pour couvrir ce mouvement de protestation, au même titre que d’autres journalistes. Des arguments, qui n’ont pas convaincu le procureur de la république, qui a requis une peine de prison ferme à l’encontre du prévenu, lors de l’audience du 26 janvier.
A. Allia