Le porte-parole de l’Union démocratique et sociale (UDS, parti non agréé), Karim Tabbou ainsi que les deux journalistes, Ihsane El Kadi et Khaled Drareni, ont été relâchés, hier, tard dans la soirée, après avoir passé plus de 24h en garde à vue dans les locaux de la DGSI, à Ben Aknoun.
Ils ont été arrêtés, jeudi dernier, par des agents en civil, avaient annoncé leurs proches sur Facebook. Le motif officiel de leur l’arrestation, survenue à la veille des élections législatives, n’est pas encore connu.
Selon le comité national pour la libération des détenus (CNLD), Lyes Sellidj, militant, a été placé en garde à vue, hier, au commissariat central de Tizi Ouzou, en attendant sa présentation devant le procureur de la République.
A Skikda, Zaid Halladj, un commerçant, a été interpelé sur son lieu travail et placé en garde à vue. Il sera présenté demain devant de procureur du tribunal de Skikda.
Plusieurs autres citoyens ont été également arrêtés, hier, à Alger et Tizi Ouzou, puis relâchés, tard dans la nuit. Il s’agit de : Smail Agoune, Zakia Mohamed, Amar Ferrat, Nabil Oudjit et Abdellah Oudjit.
Kenza SIFI