■ Une semaine après la séparation à l'amiable entre l'entraîneur Nabil El-Kouki et le président du conseil d'administration, Abdelhakim Serrar, la situation n'a toujours pas connu de développement : le Tunisien, qui est toujours à Sétif, refuse de signer le protocole d'accord de résiliation du contrat à l'amiable, comme convenu entre les deux parties.
Il exige au préalable le paiement de ses arriérés de la saison passée, estimés à 600 millions de centimes, au même titre que les membres de son staff technique, et les 3,4 milliards de centimes de cette saison sur les salaires de cette année.
Serrar, qui a pris attache avec Hubert Velud pour lui proposer le poste d’entraîneur, comme il nous l'a confirmé jeudi passé, ne peut pas l'engager sans avoir résilié le contrat du Tunisien.
R. A.