Le ministère de l’intérieur a annoncé, ce jeudi, avoir engagé des procédures judiciaires contre Zoubida Assoul, à qui il reproche de « s’adonner à des activités sous le couvert de son parti l’UCP», indiquant que sa présidente «ne requiert pas la qualité légale », conformément aux lois régissant les activités politiques.
Le département de Kamel Beldjoud, qui souligne, dans un communiqué publié sur sa page facebook, que l’Union pour le changement et le progrès se trouve dans une situation « non conforme à la loi», précise avoir déjà « adressé une mise en demeure » à Mme Assoul pour « assainir la situation de son parti ». De ce fait, il lui fait « porter la responsabilité des conséquences qu’induiront cette situation non réglementaire et ses agissements ».
Me Zoubida Assoul, ancienne magistrate et avocate actuellement en exercice, s'est portée volontaire depuis le début du mouvement populaire pour la défense des détenus d'opinion.
Rédaction Web